n'Ange Faeril...
Y a t'il encore un espoir?...
Parce que c'est toujours beau trois ptits points...
Y a t'il encore un espoir?...
Parce que c'est toujours beau trois ptits points...
oOo.Loeva.oOo
* Pif Paf Badaboum *
Samedi 24 mars 2007 à 22:05
Elle court, court à n'en plus finir... Elle court pour échapper au temps, pour le doubler, elle court pour que les moments de bonheur qui vont arriver soient déjà là et qu'ils durent l'éternité ensuite... Elle court pour essayer de retrouver ces instants perdus, pour retourner vers ce temps passé où tout était si beau... Ces moments sans prise de tête, moments de guerres si heureuse, moments de complicité... Elle a tout perdu, elle l'embête, elle est lourde, elle est chiante, elle l'aime, elle le perdra, elle en a marre... It's a soulstorm everywhere... Elle se soule de musique, le chant des oiseaux... la pluie ruisselle le long de ses joues et se mêle à ses larmes... Ses pieds glissent sur les pierres, dans la boue... L'eau coule à côté d'elle... L'eau de la vie, pourrie par les hommes... Un jour elle volera au milieu des nuages, elle oubliera la vie et le monde...
Mardi 20 mars 2007 à 18:55
Je ne pensais pas ressentir ca un jour...
J'ai eu du mal à l'accepter alors comment ressentir quelque chose d'aussi fort...
Même quand elle m'a dit pour son Diddl ca ne m'a pas fait aussi mal...
Même quand le lutin des bois m'a écrit ces mots ca m'a fait moins mal...
Et là, juste une phrase et je tombe... Ca n'a surement aucun rapport, mais juste une allusion à ce qui peut se reproduire et tout se brise... même si c'est hypothétique...
Peur d'un nouveau trou dans le coeur, peur d'une amitié...
Trop de questions, trop de doutes...
Un miracle trop incroyable aussi peut être...
Et en même temps ca fait du bien de ressentir ca, un bonheur infini... et encore... ca donne des ailes pour aller dans les nuages.
J'ai eu du mal à l'accepter alors comment ressentir quelque chose d'aussi fort...
Même quand elle m'a dit pour son Diddl ca ne m'a pas fait aussi mal...
Même quand le lutin des bois m'a écrit ces mots ca m'a fait moins mal...
Et là, juste une phrase et je tombe... Ca n'a surement aucun rapport, mais juste une allusion à ce qui peut se reproduire et tout se brise... même si c'est hypothétique...
Peur d'un nouveau trou dans le coeur, peur d'une amitié...
Trop de questions, trop de doutes...
Un miracle trop incroyable aussi peut être...
Désolé, j'arrivais pas à sourire,
je pouvais pas,
c'était trop dur...
je pouvais pas,
c'était trop dur...
¤o°Envie de hurler, envie de pleurer...°o¤
et merde...
et merde...
Je suis nulle, je suis conne, je suis débile,
je ne suis pas un n'Ange,
je ne suis pas tout ce que vous dites...
Et tu mérites bien mieux, pardon...
je ne suis pas un n'Ange,
je ne suis pas tout ce que vous dites...
Et tu mérites bien mieux, pardon...
Et en même temps ca fait du bien de ressentir ca, un bonheur infini... et encore... ca donne des ailes pour aller dans les nuages.
Si vous saviez comme je tiens à vous...
n'Ange Faeril
(je me met à vouvoyer les gens maintenant, oh my god^^)
{Et je sourit maintenant à travers les larmes alors fait de beaux rêves mon Soleil...}
Lundi 19 mars 2007 à 18:28
Un coeur qui bat tout fort pour vous...
Un coeur rempli de vous...
Un coeur où il reste encore plein de place...
Un coeur où vous tenez beaucoup de place...
Encore plein de photos à retoucher pour les mettre z'ici...
Vendredi 16 mars 2007 à 21:38
Si je meurs demain je voudrais juste te dire
Que si je meurs demain et que tu restes ici à n'en plus finir
Si je meurs demain laisse moi juste te dire
Que si je meurs demain tu auras été mon plus beau souvenir
Si je meurs demain il faut que tu gardes en toi cette flamme que même la mort ne pourrais pas souffler, cette bougie magique qui dans mon coeur ne cessera de se rallumer même sous la torture de devoir te quitter, t'observer là-haut en attendant que jamais tu ne viennes m'arracher aux griffes de cette peur si rigide peur de te perdre peur que tu viennes jamais me rejoindre peur que la mort n'existe plus d'ici que t'arrives dans mon nouveau chez moi...
Si je meurs demain je voudrais juste te dire
Que si je meurs demain et que tu restes ici à n'en plus finir
Si je meurs demain laisse moi juste te dire
Que si je meurs demain tu auras été mon plus beau souvenir
Que si je meurs demain et que tu restes ici à n'en plus finir
Si je meurs demain laisse moi juste te dire
Que si je meurs demain tu auras été mon plus beau souvenir
Si je meurs demain il faut que tu gardes en toi cette flamme que même la mort ne pourrais pas souffler, cette bougie magique qui dans mon coeur ne cessera de se rallumer même sous la torture de devoir te quitter, t'observer là-haut en attendant que jamais tu ne viennes m'arracher aux griffes de cette peur si rigide peur de te perdre peur que tu viennes jamais me rejoindre peur que la mort n'existe plus d'ici que t'arrives dans mon nouveau chez moi...
Si je meurs demain je voudrais juste te dire
Que si je meurs demain et que tu restes ici à n'en plus finir
Si je meurs demain laisse moi juste te dire
Que si je meurs demain tu auras été mon plus beau souvenir
Tout ca c'est de Siméo...
Lui* il sera toujours dans mon coeur...
n'Ange Faeril...
Samedi 10 mars 2007 à 17:36
Il suffit d'un mot, d'un regard, d'une parole, d'une note, d'un petit rien du tout et tout ressurgit...
Envie de retourner en primaire, où tout était si simple, où quand on été triste c'était parce qu'on s'était fait piquer ses billes à la récré. Envie de retourner en primaire, quand je ne les connaissais pas, quand mon monde s'arrêtais aux limites de mon village, quand mon n'amoureux habitait là, quand on ne se posait pas de questions, quand je passais mes après-midi chez elle à jouer couché par terre aux play mobil, ou on s'inventait des histoires où les pirates devenaient paysans, et où les enfants étaient les rois, quand j'allais chez elle et qu'on passait nos aprèm' à courir aux alentours, à faire du vélo sur les chemins, à se dire tous nos petits secrets, où notre vie n'était pas si compliquée. J'aimerais retourner à l'époque où je regardais les mini keum à la télé, où je me maquillais toute seule pour faire la grande, où j'en avais rien à cirer du reste du monde, où j'avais peur du noir sans penser à être dans les bras de quelqu'un pour qu'il me réconforte, ces nuits où je serrais mon nounours dans mes bras en regardant ma veilleuse orange, j'aimerais retourner à cette époque où j'arrivais à tout faire, où j'avais que des ronds verts sur mes cahiers, où l'école ce n'était pas une corvée, où on jouait aux poggs dans la cour...
Retourner en arrière et tout oublier, ne pas penser que les gens de mon village sont stupides à un tel point que je ne leurs parle même plus, revenir au temps où je ne pouvais pas les juger puisqu'ils étaient mon seul exemple. Retourner en arrière, pouvoir oublier tout ce monde, toute cette vie de soucis et de stress, de trous dans le coeur, de jalousie, de haine, ce monde où les fils de bourges critiquent tout le monde, où les seuls gens avec qui je rigole sont ceux qui ont des délires stupides, où personne ne se connait, où tout le monde a peur d'aller voir les autres, où personne ne dit ce qu'il pense en face de l'autres, où ce n'est que faux-semblant. Retourner dans le passé quand les nuages étaient blanc au lieu d'être gris, où la vie était simple... quand je n'avais pas ce trou dans mon coeur ou que je ne m'imaginais pas ressentir un pincement comme celui là...
Envie de retourner en primaire, où tout était si simple, où quand on été triste c'était parce qu'on s'était fait piquer ses billes à la récré. Envie de retourner en primaire, quand je ne les connaissais pas, quand mon monde s'arrêtais aux limites de mon village, quand mon n'amoureux habitait là, quand on ne se posait pas de questions, quand je passais mes après-midi chez elle à jouer couché par terre aux play mobil, ou on s'inventait des histoires où les pirates devenaient paysans, et où les enfants étaient les rois, quand j'allais chez elle et qu'on passait nos aprèm' à courir aux alentours, à faire du vélo sur les chemins, à se dire tous nos petits secrets, où notre vie n'était pas si compliquée. J'aimerais retourner à l'époque où je regardais les mini keum à la télé, où je me maquillais toute seule pour faire la grande, où j'en avais rien à cirer du reste du monde, où j'avais peur du noir sans penser à être dans les bras de quelqu'un pour qu'il me réconforte, ces nuits où je serrais mon nounours dans mes bras en regardant ma veilleuse orange, j'aimerais retourner à cette époque où j'arrivais à tout faire, où j'avais que des ronds verts sur mes cahiers, où l'école ce n'était pas une corvée, où on jouait aux poggs dans la cour...
Retourner en arrière et tout oublier, ne pas penser que les gens de mon village sont stupides à un tel point que je ne leurs parle même plus, revenir au temps où je ne pouvais pas les juger puisqu'ils étaient mon seul exemple. Retourner en arrière, pouvoir oublier tout ce monde, toute cette vie de soucis et de stress, de trous dans le coeur, de jalousie, de haine, ce monde où les fils de bourges critiquent tout le monde, où les seuls gens avec qui je rigole sont ceux qui ont des délires stupides, où personne ne se connait, où tout le monde a peur d'aller voir les autres, où personne ne dit ce qu'il pense en face de l'autres, où ce n'est que faux-semblant. Retourner dans le passé quand les nuages étaient blanc au lieu d'être gris, où la vie était simple... quand je n'avais pas ce trou dans mon coeur ou que je ne m'imaginais pas ressentir un pincement comme celui là...
n'Ange Faeril...
