Vendredi 7 mars 2008 à 22:11

Loeva ou l'art de se poser des questions débiles
(ou aussi l'art de ne pas savoir fermer sa gueule quand il faut...)


[Tu sais, si je te dis tout ca, si je te pose ces questions qui ne mènent à rien, c'est parce que je tiens à toi, un peu trop surement, plus qu'il ne le faudrait... J'aimerais tant savoir ce que tu penses, savoir ce qu'il se passe dans ta tête, comprendre ce qu'il s'est passé, savoir si j'aurais pu avoir un espoir dans une autre situation... C'était tellement étrange, tellement... Tu sais, je t'aime, une amitié profonde comme elle l'a si bien dit, ou si mal. C'est le 'koi' des japonais, pas leur 'ai', le 'ai' est réservé à un arc-en-ciel... J'aurais tant aimé être libre, arriver à te dire tout ces mots qui se bousculent dans ma tête, te confier toutes mes questions, mais je sais que je n'y arriverais pas... Et puis tu t'en fous, tu n'y penses pas, tu vis, t'en as rien à cirer, c'est peut etre aussi pour ca que je me pose toutes ces questions, toutes ces images qui s'entremêlent sans trouver de mots sur lesquels se poser. Il m'a dit de te dire que j'avais des sentiments pour toi. Ce n'est pas tout à fait exact. Et même si ca l'était je ne pourrais pas te le dire. Ce qui est exact c'est  que je t'adore. Mais je n'arrive pas à savoir si c'est un chemin à double sens. Ce qui est exact c'est que je t'adore. Un peu trop surement...]


n'Ange Faeril...

Jeudi 6 mars 2008 à 13:06

Juste ensemble. A la lueur d'une lune souriante. Assis dans l'herbe au milieu du calme silence de la nuit. Et cette voix. Si pure. Quelques notes cristallines percant l'obscurité, chassant les peines et les doutes. Une sérénité s'installant sans peine, leurs regards perdus dans la contemplation d'un point inexistant, rêvants d'une liberté inexistante dans un monde où toute croyance a disparu. Un monde où le mot aimer ne veut plus dire grand chose, où apprécier l'instant présent est devenu un acte insurmontable et où ceux qu'on aime sont loin de nous. Si loin et pourtant si proche. Séparés pas un mur infranchissable de règles, de peurs et d'à priori. Un rêve où la vie existerais et où la paix serait constante. Cette sérénité s'envole avec les dernières notes, laissant un flou dans leurs yeux où la jeunesse s'efface déjà, brisée par une réalité irréelle...

n'Ange Faeril...

Lundi 3 mars 2008 à 16:51

"Un nom. Son nom. Comme une bouée de sauvetage qui me sors la tete de l'eau. Il n'est rien. ne fut rien. ne sera rien. Mais il est là, toujours. Quand je suis perdue au milieu du brouillard. Il revient. 'Donne moi la main c'est par là' . Une heureuse rencontre. Son nom qui me permet de survivre..."
->It was here<-

Maintenant c'est plus qu'un nom.
C'était un ptit rien ou pas grand chose, qui s'est caché, qui a grandit au loin, puis qui est revenu.
Et jveux pas qu'il reparte.

Dimanche 2 mars 2008 à 21:28

Je me déteste. Je le déteste. Je les détestes...
[Je hais Paris. Ou j'aime. Je sais plus. Je sais pas.]
Et je l'aime... Mon Arc en Ciel...

Life is not really beautiful sometimes...

n'Ange Faeril...

Where are you my Queen? I'm lost without you...
I miss our laughs, our dragons, your smile, your mad words, simply you...
And I love you...

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